Projet // Urbanisme, transports et protection de l’environnement: vers une ville bienveillante et durable

Préservation de l’identité et de l’histoire de notre ville

Stopper définitivement le bétonnage de notre commune, c’est-à-dire arrêter les constructions anarchiques, qui dénaturent la ville, aboutissent à des équipements publics surchargés et des difficultés de stationnement.
Opposition à la destruction programmée des arbres et des pavillons de la Cité de l’Air dont le propriétaire est le bailleur social Immobilière 3F. Nous exigerons des constructions respectant l’esprit pavillonnaire de ce quartier.
Volonté ferme de préserver le quartier de Mons face au projet de franchissement de Seine, en plaidant auprès du Département, de la Région et de l’Etat contre ce projet d’un autre temps et au financement incertain.

Simulation de l’impact du projet de franchissement de la Seine sur le quartier de Mons

Développer et faciliter les mobilités

Prolonger le tramway T7 au point mort depuis 2013. Au delà du tramway, c’est la requalification de la N7 qui est en jeu. Cet axe coupant aujourd’hui la ville en deux doit devenir un lieu de vie, avec une dynamique de commerces de proxi- mité et des mobilités repensées avec les rues adjacentes.
Libérer des places de stationnement, notamment en centre-ville. Les parkings souterrains pour les riverains existent mais sont chers et souffrent d’insécurité, les poussant à stationner à l’extérieur. Nous interviendrons auprès des bailleurs pour corriger cette situation.
La flotte automobile de la Mairie est vieillissante et coûteuse à entretenir. Les trajets sur la ville ne nécessitant pas une autonomie importante, l’emploi d’énergies fossiles polluantes et coûteuses n’est pas justifié. Nous passerons progressivement à l’électrique afin d’être exemplaires.
La Scandibérique (vélo-route européenne allant de la Norvège à Saint-Jacques- de-Compostelle), une des rares routes cyclables passant par Athis-Mons, n’est même pas digne de ce nom. Il y a nécessité de penser les mobilités douces, actuellement parents pauvres des déplacements.
Rénovation progressive de la voirie athégienne. La vétusté sera le premier critère du plan d’investissement. En effet certaines rues ont déjà été refaites trois fois en seulement dix ans. Coordonner les travaux de voirie avec ceux d’assainissement ou d’enfouissement des câbles, afin d’éviter le gâchis d’argent public et des nuisances répétées pour les riverains.

Améliorer notre environnement

Préserver le coteau des Vignes, développer les espaces verts en zone urbaine, créer des îlots de fraîcheur via des canopées. Inciter les Athégiens en capacité à planter des arbres dans leur terrain via l’organisation de journée de conseils, d’échanges de bonnes pratiques et de bourses aux arbres. Nous organiserons un concours lié aux arbres pour valoriser les meilleures initiatives.
Aménager des jardins partagés car la place du potager en ville est de plus en plus réduite du fait de l’urbanisation galopante.
Repenser totalement l’aménagement des bords de Seine pour en faire à la fois un lieu de vie et d’habitation de qualité. Les résultats de nos voisins d’Ablon ou de Juvisy nous permettent d’aspirer à autre chose que des friches industrielles ou des trottoirs étroits et défoncés.
Les odeurs au bord de l’Orge sont bien souvent insupportables. La principale cause est la non-conformité de beaucoup d’habitations en termes d’assainissement. Nous aiderons les particuliers à se mettre en conformité au travers d’une subvention à hauteur de 4 500 € sans conditions de ressources en partenariat avec l’EPT 12 Grand Orly Seine Bièvre et l’Agence de l’Eau.
Réinstaurer le ramassage mensuel des encombrants dans le secteur pavillonnaire.