Pour une ville à vivre et non plus à vendre

Pour une ville à vivre et non plus à vendre

Bilan de Christine Rodier: 4 276 LOGEMENTS CRÉÉS OU EN PROJET SUR UN SEUL MANDAT… RECORD DE L’ÉQUIPE PRÉCÉDENTE BATTU !

Cliquez ici pour feuilleter le tract en ligne

BÉTONNAGE = HAUSSE DE LA TAXE FONCIÈRE !
Avec la suppression de la taxe d’habitation, la compensation par l’Etat aux communes se fait sur la base de l’année de la suppression. Toute augmentation future du nombre d’habitants est donc défavorable à nos finances qui ne comptent que sur l’impôt foncier. À terme, le seul levier sera d’augmenter une fois encore la taxe foncière… Les candidats qui ne stopperaient pas les nouvelles constructions seront donc obligés d’augmenter la taxe foncière pour financer les services publics. Je m’y refuse.
BÉTONNAGE = MOINS DE SERVICES PUBLICS POUR LES ATHÉGIENS !
2014-2020, c’est déjà plus de 4000 habitants supplémentaires. Pourtant, les infrastructures n’ont pas évolué significativement : manque de stationnements, saturation des transports en commun et des axes routiers, manque de crèches, d’école et de services publics, réseaux d’évacuation sous dimensionnés… tous ces problèmes s’aggravent depuis une douzaine d’années. Je propose de les régler en priorité avant de vouloir encore s’agrandir.
BÉTONNAGE = TOUJOURS MOINS D’ÉCOLOGIE !
En plus de la destruction des arbres, l’imperméabilisation des sols liée au bétonnage à outrance limite les capacités d’infiltration naturelles des eaux de pluie. Par exemple, la Cité de l’Air joue aujourd’hui le rôle d’un gigantesque bassin d’infiltration pour la ville. Si elle venait à être détruite, le ruissellement vers le Val serait considérable et les réseaux en charge aggraveraient les épisodes orageux ou d’inondation, toujours plus nombreux. Je n’accepte pas de sacrifier ces quartiers aux catastrophes naturelles.
BÉTONNAGE = DESTRUCTION DE NOTRE IDENTITÉ !
Les Athégiens ne reconnaissent plus la ville. Athis-Mons n’est pas une ville nouvelle sans âme créée dans les années 1970 mais une commune dont l’existence est attestée depuis l’Antiquité ! Ayant toujours vécu à Athis-Mons où ma famille est arrivée en 1956, j’ai à cœur qu’Athis-Mons reste Athis-Mons et ne s’oriente pas vers les modèles surpeuplés au nord d’Orly que les Français cherchent à fuir à tout prix.

Non, nous ne sommes pas obligés de construire !

Nos obligations en termes de construction de logements sociaux sont déjà largement dépassées (Athis-Mons compte plus de 35% au lieu des 25% demandés par la loi). Je suis pour que chaque ville prenne sa part et participe à la solidarité, mais en préservant ses équilibres.
Les objectifs de construction fixés par la région à travers le SDRIF sont formulés en termes de logements et/ou d’emplois, à adapter selon la configuration de la ville.
Pour Athis-Mons, qui comporte déjà beaucoup de logements, je privilégierai la création d’emplois.
DES LEVIERS EXISTENT :
c’est le Maire qui signe les permis de construire et qui fixe les règles d’urbanisme. Je les ferai réviser en collaboration avec l’EPT 12 (Grand Orly Seine Bièvre), au sein duquel le Maire dispose de la délégation de signature pour tous les actes d’urbanisme sur sa commune.

Julien Dumaine

Julien Dumaine

« Une proposition, ferme et définitive : face à l’ampleur de la situation, je m’engage à stopper tous les permis de construire de collectifs dont l’état d’avancement ne met pas en péril les finances de la ville ».

Adapter l’offre de services publics (école, crèches, santé…) à la population croissante.

Création d’aires de stationnement, d’espaces verts
et développement de l’offre de transports en commun.

Une ville propre, agréable et sûre.

Mon association a été fondée en 2012 pour combattre le bétonnage naissant à Athis-Mons amorcé par les équipes socialistes précédentes. Comme beaucoup, J’avais personnellement fait confiance aux promesses du Maire qui non seulement n’ont pas été tenues, mais qui a même mené une politique contraire à ses engagements. Seul Julien Dumaine a eu le courage de s’insurger contre ce reniement, y laissant son poste d’Adjoint
au Maire et ses indemnités afin de dénoncer tous ces projets immobiliers. Je me méfie des socialistes du passé, devenus écologistes pour la circonstance car n’oublions pas qu’ils sont les responsables initiaux de cette densification. Ce sont donc les deux faces d’une même pièce. Nous devons changer et faire le choix de la jeunesse, porteuse d’espoir.

Guy chevalier

Président Fondateur Association Défense Urbanisme Environnement Local (ADUEL)

Il est frappant de constater que l’urbanisme à Athis-Mons n’obéit à aucune logique.
Le raisonnement ne dépasse pas l’échelon de la parcelle, ce qui empêche des projets cohérents, plus globaux. On aboutit au résultat d’aujourd’hui : différences de niveaux, de retraits et une absence totale de cohérence architecturale. De plus, contrairement à ce qui se pratique ailleurs, aucune participation financière directe des promoteurs à la création d’équipement public n’a été engagée. Pire les projets immobiliers ont supplanté des activités commerciales sans en accueillir de nouvelles diminuant l’offre pour la population. A Athis-Mons, chaque promoteur travaille indépendamment sur son petit projet et le Maire acquiesce. C’est pourquoi je soutiens Julien Dumaine, qui reprendra l’initiative et ne laissera plus les promoteurs immobiliers faire leur loi en matière d’aménagement
du territoire.

Abdelsslem Halaoui

Ancien directeur des Services Techniques et de l’Urbanisme en Mairie d’Athis-Mons

Urbanisme et santé publique (Athégien mars 2019)

Urbanisme et santé publique (Athégien mars 2019)

L’étude de Bruitparif, observatoire en Ile-de-France, vient de paraître. Elle révèle que 90% des habitants de la Métropole souffrent d’une exposition aux décibels supérieure à celle recommandée par l’Organisation Mondiale de la Santé.
Athis-Mons ne fait pas exception à la règle avec la présence de moyens de transports nombreux: ferroviaire, aérien et routier.

L’analyse détaillée de ce rapport estime à 13.60 le nombre de mois en bonne santé perdus sur notre ville en raison de ces nuisances. Au-delà des troubles auditifs, le sommeil est perturbé et les maladies cardio-vasculaires favorisées.
A ceux-ci se doublent les effets sur la santé induits par la dégradation de la qualité de l’air. Ces éléments prouvent que la densification urbaine se heurte à des questions de santé publique et pose le problème de l’exposition d’un nombre croissant d’habitants dans des zones déjà très peuplées.

Julien DUMAINE – Laure LAFOND – Sydney FLEURY – Maryline
GRESSY – Michel BOURG – Julienne GEOFFROY – Kevin RAINHA – Benoit DESAVOYE

Moins de taxe d’habitation = moins de béton

Moins de taxe d’habitation = moins de béton


(Ce billet a été publié dans le dernier supplément de l’Athégien)


Le Parisien nous donne les chiffres: 75% des athégiens ont bénéficié d’une réduction de leur taxe d’habitation par le gouvernement (économie moyenne =172€). Il faut s’en réjouir.

La compensation aux communes se fait sur la base de l’année de la suppression. Toute augmentation future du nombre d’habitants sera donc défavorable à nos finances qui ne prélèveront que l’impôt foncier.


Les constructions de logements auront un coût en services publics supérieur à ce qu’elles rapportent.


Il est donc urgent que le Maire reconsidère sa politique de bétonnage



Cité de l’Air: la fin d’une ère (l’Athégien Mars-Avril 2018)

Cité de l’Air: la fin d’une ère (l’Athégien Mars-Avril 2018)

 

 
 
Détruire un quartier historique afin d’accueillir 4000 habitants supplémentaires. Une étude d’impact
remplie d’imprécisions. D’importantes réserves émises à tous les niveaux, y compris de la part des services de l’Etat. Aucun équipement public prévu.
 
Pourtant, notre programme électoral était de: “préserver le tissu pavillonnaire y compris la Cité de l’Air poumon de la ville“.
 
Le Conseil Municipal, mouvementé, n’adopta ce projet qu’à une voix. Deux nouveaux élus se désolidarisèrent
du Maire.
 
Que ceux qui nous firent confiance sachent qu’il reste des élus qui mettront tout en œuvre afin de s’opposer au bétonnage de notre commune.
 
Julien DUMAINE – Laure LAFOND – Sydney FLEURY – Maryline
GRESSY – Michel BOURG – Julienne GEOFFROY
 
email :
athis.espoir.liberte@gmail.com
 
site web :
http://www.julien-dumaine.com

 

Entrée de ville: projet iconique ou projet ironique ?

Entrée de ville: projet iconique ou projet ironique ?

Athégien, vous avez forcément entendu parler de ce fameux “projet d’entrée de ville”.
Vous avez raté la réunion publique ? Vous n’y comprenez rien ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire de soucoupes volantes futuristes ? De cinéma multiplexe ? VIRGIL…le poète romain peut-être ? N’ayez crainte. Je vous ai concocté un petit article sur le sujet.

Présentation du projet d’entrée de ville le15 février 2018 19h30 salle du Conseil

Le Maire ne s’est pas risquée à un exposé magistral. C’est essentiellement Patrick Stephan, président de l’agence Virgil, l’investisseur privé de cette opération, qui est venu défendre son projet devant les Athégiens. Un projet qui est plutôt apparu comme aventureux: nombre d’incertitudes voire d’incohérences ont été mises en lumière en cours de réunion.
Le projet, dénommé “Concorde Plaza ” (le terme “Plaza”, étant particulièrement à la mode chez les investisseurs, y compris à l’étranger dans les zones sous influence économique française comme le récent “sea plaza” situé à Dakar) est, en fait, un centre commercial avec des commerces, des restaurants et un cinéma .
C’est le pendant de Belle Epine, mais en Essonne. 24 000 m2 de commerces qui deviendraient l’identité visuelle de notre ville.

Des commerces, un cinéma, des restaurants. Mais où sont les consommateurs ?

Autour de nous, la concurrence est rude. A Thiais Village dont les boutiques vivotent et changent sans cesse d’enseigne, l’attractivité est assurée par le géant IKEA. En l’espèce (et à défaut d’un équipement sportif d’envergure initialement envisagé), ce serait notre bon vieux Carrefour qui serait chargé d’appâter le client. Faut-il rappeler que la santé financière des hypermarchés n’est plus ce qu’elle était depuis quelques années ? En matière de locomotive, on a sans doute vu mieux.

En fait de commerces, Patrick Stéphan a, également, évoqué l’installation d’une moyenne surface. Il ne lui aura pas échappé que les consommateurs délaissent les hypers et retournent vers les petites et moyennes surfaces. Mais ce débouché n’empiéterait-il pas sur la zone de chalandise de ce même Carrefour d’Athis-Mons ? Certains l’ont soulevé, une surface commerciale supplémentaire pourrait porter le coup de grâce au boucher, boulanger, tabac…du centre-ville.
Ce a quoi il fut répondu que ce nouveau centre commercial serait notre nouveau centre-ville. Au de sa situation géographique  (coincé à la frontière de la zone aéroportuaire), l’affirmation est pour le moins osée.

Les enseignes, déjà choisies, n’ont pas été communiquées. Certains Athégiens se sont inquiétés d’un choix de commerces qui accentuerait encore la paupérisation de notre ville. A cela, Patrick Stephan insiste sur la mixité entre commerces premium et d’autres, beaucoup moins premium. Rien de très original en vue… La doublure de Belle Epine ?
Il espère surtout que les passagers d’Orly viendront jusqu’à la zone commerciale d’Athis Mons. Il les appelle les « transits » ignorant, hélas, que les clients d’un aéroport s’appellent des passagers et que les passagers en transit ne sortent pas de l’aéroport. Pour preuve, l’Aéroville (centre commercial proche de l’aéroport Charles de Gaulle) escomptait que les passagers et les 80.000 salariés de l’aéroport se précipiteraient dans ses boutiques mais ne fait que vivoter, victime de cette erreur d’appréciation et de la cannibalisation qu’exercent entre eux tous ces centres commerciaux construits trop près les uns des autres.

A l’heure du e-commerce et de l’agressivité commerciale d’un Amazon, les centres commerciaux sont-ils encore concurrentiels ? Tous les leaders de la grande distribution ont des accords avec un e-commercial: Auchan avec Alibaba, Google avec Wal-Mart… Il se murmure même qu’Amazon s’apprêterait à racheter Carrefour. Nous allons bien vers la fin des centres commerciaux… Où se trouve l’étude sur la zone de chalandise du nouveau centre commercial ? Où sont les prévisions de rentabilité à court, moyen et long terme ?

Mais, le projet se veut avoir un atout majeur en poche : le cinéma de 1500 places sur 6000 m2… qui viendra donc en concurrence avec ceux de Belle Epine et de l’Agora …
La question de la survie à long terme d’un tel cinéma se pose. Avec le développement de Netflix, OCS, Amazon et du streaming, le moment d’ajouter un cinéma qui a toutes les chances de vivoter est-il bien choisi ? Au niveau national, la fréquentation des cinémas est en chute régulière depuis quelques années déjà.
Au delà d’Athis-Mons, nos villes proches disposent de cinémas locaux qui projettent des films récents à un prix abordable (je pense au Calypso de Viry-Châtillon). Leur arrêt de mort pourrait être signé. Les intervenants semblaient mal informés et balayèrent cet argument pensant que ceux-ci n’étaient réservés qu’aux seuls films d’art et d’essai…

Au surplus, à aucun moment n’a été pris en considération l’attractivité des salles parisiennes, dans l’espérance naïve qu’un cinéma à Athis-Mons retiendra nos jeunes, alors que de magnifiques salles sont à portée de RER (et donc de pass navigo  dézoné le week-end, les jours fériés et pendant les vacances scolaires, mais il est vrai que bien peu d’élus se sont aventurés à emprunter les transports en commun). Bref, à terme, la rentabilité de ce cinéma n’est pas garantie. Où est donc l’étude de marché ?
Enfin, les autorisations pour ce type d’équipement peuvent être longues à venir…Massy a attendu 7 ans !

Ce centre commercial modifiera durablement la circulation.

Patrick Stephan précise que le plan de circulation a été étudié avec des spécialistes. Le Maire confirme que les ingénieurs d’ADP ont aussi étudié le problème. Rappelons que si les ingénieurs d’ADP sont des as de la construction d’aéroports dans le monde, ils ne sont moins spécialisés dans l’étude de la circulation en banlieue parisienne. La situation embouteillée autour d’Orly et de Roissy paraît en tous les cas en témoigner.
Il me semble que l’opposition socialiste a par ailleurs demandé fort judicieusement si le plan de circulation tenait compte de la réflexion de l’Etat sur la circulation dans cette zone (RN7) et si la configuration de la zone commerciale n’allait pas condamner des améliorations futures envisagées par les pouvoirs publics. Il est apparu clairement que Patrick Stephan ignorait totalement ces projets.
En dépit de nombreuses questions posées par les Athégiens présents, il n’a pas pu être garanti que les entrées et sorties du centre commercial  n’allaient pas empirer les embouteillages quotidiens de la RN7 localisés précisément surcette zone de 16h00 à 20h00 (sans parler de la pollution supplémentaire générée).  De plus, la coordination avec le contournement sud d’Orly semble avoir été ignorée.
Quid de l’étude d’impact précise de ce centre commercial sur la circulation ?

L’emploi

500 emplois envisagés. On imagine qu’il s’agit d’emplois ne nécessitant que peu de formation mais il s’agit sans doute de l’un des points forts du projet.

Calendrier

Patrick Stephan espère déposer les permis de construire en septembre. Il pense qu’il aura aussi toutes les autorisations de la CDAC en septembre également. L’optimisme n’a jamais tué personne …heureusement, puisqu’il s’agit là d’un opérateur privé, nous avons davantage de raisons d’être confiant. Rappelons que la ville a déjà mis deux ans pour lancer une simple maîtrise d’oeuvre pour son épicerie sociale  (concernant uniquement des travaux de réaménagement intérieur)…
Début des travaux en février 2019 donc. Le projet comportant plusieurs zones, on ignore encore quelle zone aura la primeur des constructions. En tout état de cause, la zone dite “îlot Charlie”, qui appartient à ADP sera la dernière à être construite.
Devant les questions pointues des Athégiens, le Maire a révélé son dernier argument : un pôle médical sera installé dans le centre commercial. Comme à Belle Epine, donc. Mais pas inutile dans le contexte d’offre de soins athégien.

Bilan

Commerces, cinémas, pôle médical : ce projet est sujet à de profondes incertitudes quant à son caractère viable et semble s’affranchir d’études complémentaires. Pour des raisons de calendrier électoral, Le Maire est pressée. pourtant, si le centre commercial se révélait être un échec- comme ce n’est pas impossible pour un projet qui appartient à un autre temps – , la paupérisation de notre ville en serait malheureusement consolidée. On parlera alors de ghettoïsation de cette ville limitrophe d’un aéroport.
Mention honorable pour le lapsus du jour : en évoquant la circulation liée au centre commercial, le Maire a parlé du franchissement de Seine qui drainerait de nouveaux consommateurs. Elle a également confirmé sa volonté de bétonnage du quartier RN7 qui s’ajoute donc à celui de la Cité de l’Air (mais cette fois, ce n’était pas un lapsus).

Conclusion

En vérité, rien de bien neuf sous le soleil. Rappelons que l’équipe précédente avait déjà un projet à faible valeur ajoutée sur l’ancien stade Barran (un groupe hôtelier, 151 logements sociaux et un KFC). Ici, et contrairement à ce qu’a pu affirmer le Maire dans son discours des vœux, ce projet n’a pas été travaillé “ces dernières semaines”, mais est essentiellement le fruit du travail de l’ancien directeur technique de la ville. Malheureusement, celle-ci est parvenue à dénaturer le projet initial jusqu’à lui en retirer tout intérêt. Il devait comporter une très forte dominante loisirs, et s’appuyer notamment sur un équipement sportif de premier plan, le Palais des Sports, dont le financement était assuré à hauteur de 7.5 millions d’euros par la vente de l’ancien stade de rugby évoqué plus haut. Un tel équipement, pourtant promis et vendu à de nombreuses associations aurait été le fleuron de la ville et une véritable “locomotive” (davantage qu’un hypermarché) pour un projet d’envergure, surtout qu’il avait été pressenti pour être le siège national de la fédération française de Karaté.
Ce directeur technique, limogé par le Maire il y a un an (l’une des raisons de la fin de mes fonctions d’Adjoint), avait notamment été accusé de faire rêver les élus. L’ironie du sort voudrait que le Maire, qui cherche aujourd’hui à faire rêver les Athégiens, se soit condamnée au même destin.

Julien DUMAINE
Conseiller Métropolitain – Conseiller Territorial – Conseiller Municipal

VIRGIL, société par actions simplifiée est en activité depuis 35 ans.
Installée 14 rue de Bassano à PARIS 16 (75116), elle est spécialisée dans le secteur d’activité des agences immobilières. Son effectif est compris entre 6 et 9
salariés. Sur l’année 2015 elle réalise un chiffre d’affaires de 1 164 200,00 €.  Le total du bilan a diminué de 5,67 % entre 2014 et 2015.
Patrick STEPHAN, est président de la société VIRGIL.