Le débat se poursuit concernant le projet d’école sur RN7. Julien DUMAINE rappelle qu’il y a un décalage entre les belles esquisses des architectes et le rendu réel d’un projet. Le coût des projets, balayé d’un revers de la main par la municipalité, reste un indicateur important à prendre en compte dans les politiques publiques, car ce sont en dernière analyse les impôts des Athégiens (ici en l’occurrence, de la dette) !
Notre position est qu’il aurait été plus judicieux de réaliser l’école dans des secteurs où le foncier est encore disponible, comme à la Cité de l’Air afin de baisser énormément le coût de l’opération (18 millions d’euros prévus). Cela aurait en outre évité les contraintes de construction induites par une petite parcelle triangulaire donnant sur la RN7, obligeant la construction d’un cour de récréation prévue sur le toit ! Si de telles réalisations se font à Paris, qui n’a plus de terrains à bâtir, nous avions en grande couronne d’autres options possibles.
Enfin, il est dommage qu’un projet d’école d’une telle ampleur n’ait pas été amorcé au début du mandat comme le prévoyaient pourtant les promesses électorales : nous aurions évité la flambée des coûts de construction et pu bénéficier de taux d’intérêts presque quatre fois moins élevés qu’aujourd’hui.