Athis-Mons : une soirée réunit 1 500 personnes au lieu de 500, la mairie va porter plainte (Le Parisien 23/01)

Une fête a été annulée ce week-end à Athis-Mons après que la police a découvert que 1 500 personnes y participaient au lieu des 500 annoncés.

La fête organisée ce vendredi à Athis-Mons a été un temps menacée. Puis validée. Avant d’être finalement interrompue définitivement par les forces de l’ordre. Car l’organisateur de l’événement avait loué de manière légale l’entrepôt situé près de la gare RER où il devait se dérouler. Qui plus est, il avait aussi annoncé moins de 500 invités, ce qui lui permettait de ne pas avoir à demander d’autorisation à la mairie ou à la préfecture.
Mais relayé dès les jours précédents sur les réseaux sociaux en tant que « rave-party », cet événement avait attiré l’attention des policiers du commissariat local, qui ont donc bloqué l’accès vendredi soir aux fêtards, avant de se rendre à l’évidence : pour 500 convives, sur invitation, l’organisateur était « dans les clous ».
La soirée a donc pu se dérouler, mais le volume sonore a dérangé de nombreux voisins qui ont appelé au 17. Les policiers sont donc intervenus vers 4h30 pour faire cesser le tapage nocturne. C’est là qu’ils ont découvert que plus de 1 500 danseurs occupaient les lieux et que d’autres groupes arrivaient encore par vagues successives.
Une réunion avec la police, la municipalité et la préfecture est prévue ce mardi. « Nous allons déposer plainte pour l’organisation d’une rave-party sauvage », indique d’ailleurs le cabinet de la maire (LR) d’Athis-Mons. Une enquête est d’ailleurs ouverte depuis dimanche pour tapage nocturne et organisation d’une rave-party sans autorisation. Du matériel de sonorisation a été saisi ce week-end.

Essonne : les quartiers fondent pour les glaces Oscar (Le Parisien 23/01)

Depuis ce lundi, et la mise en ligne d’un documentaire sur le site Streetpress, Nanou fait le buzz sur les réseaux sociaux. Depuis 34 ans, elle perpétue la tradition familiale des glaces Oscar… un glacier ambulant fondé par son grand-père.

Sa petite musique trotte encore dans toutes les têtes. Depuis ce lundi, et la mise en ligne d’un reportage sur le site Streetpress, le glacier star des quartiers et des camps de gens du voyage en Essonne et dans le Val-de-Marne fait le buzz sur Internet. Au volant de son camion bigarré, Nadine, que tout le monde appelle « Nanou », perpétue une tradition familiale née il y a plus 50 ans.
« J’ai découvert les glaces Oscar lorsque j’étais en reportage à Grigny, confie le journaliste Matthieu Bidan qui réalisé le documentaire avec sa collègue Inès Belgacem. Des personnes différentes m’en ont parlé à plusieurs reprises, je me suis dit qu’il y avait une belle histoire à raconter. »
La belle histoire commence de manière tragique, au milieu des années 1970 à Savigny-sur-Orge. « Mon grand-père est décédé au tout début de l’aventure, raconte Nanou. Ma grand-mère, qui allait chercher le lait à la laiterie d’à côté pour fabriquer ses glaces, a choisi de lui rendre hommage en utilisant son prénom. »
Au fil des années, la charrette de la grand-mère se transforme en camionnette. « Quand mon père est arrivé d’Italie, il a travaillé comme maçon, poursuit-elle. Il a travaillé sur de nombreux chantiers comme, par exemple, celui des Grands ensembles à Massy. c’est là qu’il s’est dit qu’il fallait rendre les glaces accessibles à tout le monde. » Le concept des glaces Oscar était né.
De Savigny-sur-Orge à Grigny, en passant par Athis-Mons mais aussi Vitry-sur-Seine, Choisy-le-Roi ou encore Thiais dans le Val-de-Marne, Nanou multiplie les arrêts dans les quartiers réputés sensibles et sur les campements des gens du voyage. « Il ne m’est jamais rien arrivé, assure-t-elle. Tout le monde sait que je viens pour donner du plaisir. »
Pour réaliser son film, Matthieu Bidan a dû suivre son rythme effréné. « Nadine file de cité en cité et sur place, elle ne reste que très peu de temps, détaille-t-il. Il fallait faire vite pour tourner les images. »

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« Nanou » compte même des clients célèbres, elle pose ici aux côtés du chanteur Kendji Girac./DR

« Tous les anciens ont connu les glaces Oscar »

A Grigny, dans le quartier de la Grande-Borne, le glacier « express » est encore dans toutes les mémoires. « Tous les anciens ont connu les glaces Oscar, s’exclame Kizo, un des « grands frères » du quartier. Quand on était petits, on voulait tous notre glace. Alors, dès qu’on voyait le camion arriver ou dès qu’on entendait la musique, on montait en vitesse voir nos parents pour qu’ils nous donnent une pièce. Il fallait faire vite car le camion ne restait pas longtemps. »
Avec ses glaces « pas chères », Oscar est rapidement devenu la star de la Grande Borne. « A l’époque, les seuls qui entraient dans le quartier, c’était les pompiers, la police, les ambulances… et les glaces Oscar », ajoute celui qui a créé le No Joke Training, une discipline qui mêle musculation, sports de combat et endurance.
Au début des années 2000, les glaces Osacr ont compté jusqu’à dix camions pour assurer toutes les tournées. Aujourd’hui, Nanou perpétue seule la tradition. « Je fais ce métier depuis mes 16 ans, glisse la quinquagénaire avec nostalgie. Les glaces Oscar, c’est un peu comme mon deuxième enfant. »

ATHIS-MONS : un incendie mobilise plus de 20 pompiers (lessonnien 22/01)

Samedi soir vers 19h : es sapeurs-pompiers sont intervenus pour un feu de cuisine dans un appartement situé au 2ème étage d’un bâtiment d’habitations R+4.
Le feu a été éteint au moyen d’une lance. Une ventilation de l’appartement et des parties communes ainsi qu’un le déblai de la cuisine a été réalisé. 15 personnes sont sorties de l’immeuble et ont été prises en charge par les sapeurs-pompiers.
Le bilan définitif fait état d’une victime transportée état léger en milieu hospitalier. seul 2 occupants de l’appartement n’ont pas pu regagner leur logement et se sont relogés par leurs propres moyens. Les services techniques de la ville de Longjumeau, la police nationale, ENEDIS et GrDF étaient sur les lieux.
Plus de vingts pompiers ont été mobilisés pour cette intervention.

La déchetterie d’Athis-Mons a rouvert (Essonne-Info 22/01)


Près d’un an après sa fermeture, la déchetterie d’Athis-Mons a rouvert ses portes le 15 janvier dernier.
Dix mois et demi, soit le temps d’attente observé par les Athégiens avant la réouverture de leur déchetterie. En mars dernier, et alors que des soupçons de pollution planaient déjà depuis quelques temps, Siredom et municipalité d’Athis-Mons avaient décidé de fermer les portes de la déchetterie de la ville. Les particules d’aluminium rejetées par la société voisine, Derichebourg, étaient bien trop importantes, mettant en danger les salariés et utilisateurs du site de l’éco-centre d’Athis-Mons. Les travaux de mise en conformité ont cette fois été bien réalisés par Derichebourg, l’activité de la déchetterie d’Athis-Mons a donc pu reprendre normalement le 15 janvier dernier. « Les dernières analyses transmises par la DRIEE ont ainsi permis de rouvrir le site en toute sécurité pour les agents valoristes et les usagers », assure un communiqué de l’Etablissement Public Territorial Grand Orly Seine Bièvre. Celui-ci précise par ailleurs que, si les horaires de la déchetterie n’ont pas changé, la mise à disposition de la déchetterie mobile sur le parking de la recyclerie les Portes de l’Essonne est terminée.
Horaires d’ouverture : 
Lundi, mercredi, vendredi, samedi : de 9h à 12h et de 13h à 17h (18h du 31 mars au 14 octobre). Dimanche : de 9h à 12h. Fermée le mardi et le jeudi. 

La N7 fermée la nuit sous Orly (Essonne-Info 20/01)

Des travaux d’étanchéité d’un pont à Orly conduisent à des fermetures de nuit qui dureront deux ans. La N7 est fermée de 22h30 à 5h30 du lundi au jeudi.
C’est par un mot sur son site, que ADP, rebaptisé Paris Aéroport, annonce des travaux d’une durée de deux ans au niveau du pont qui enjambe la N7, sous les pistes d’Orly. Conséquence, des fermetures de l’axe routier dans les deux sens de circulation sont annoncées, mais aussi des coupures sur le T7.
Du lundi au jeudi, de 22h30 à 5h30, la N7 est ainsi fermée à la circulation entre Athis-Mons et Orly. Le contournement d’Orly se fait par Villeneuve-le-Roi. Le tramway T7 pourra aussi être perturbé aux mêmes heures, et son terminus déplacé à Orly-sud.
Le calendrier de travaux n’avait pas été dévoilé, et les municipalités des alentours ont été prises de court en découvrant le début de ce nouveau chantier le 15 janvier. Au même titre que les usagers de la route, ou des bus de nuit qui doivent également faire le tour de l’aéroport.