Un projet de nouvel écoquartier à la Cité de l’air d’Athis-Mons (Essonne-Info 18/10)


Il va y avoir du changement pour les
locataires de la Cité de l’air à Athis-Mons. La mairie lance un projet
d’écoquartier qui devrait reconfigurer la zone. Présentation des enjeux.
Le quartier de la Cité de l’air rompt
avec le paysage qui l’entoure à Athis-Mons. Derrière les immeubles, on découvre
de petits lopins de terres, et çà et là des pavillons. On compte trois cents
logements dans ce quartier, tous locatifs. Ils ont été construits après la
seconde guerre mondiale pour loger les salariés de l’aéroport d’Orly qui jouxte
le quartier. Ces trente-trois hectares de terrain sont partagés entre deux
bailleurs, la direction générale de l’aviation civile (DGAC), et le bailleur
social 3F.

Cette zone offre un cadre de vie spécifique et inspiré des cités-jardins
à l’anglo-saxonne. La mairie met en avant les qualités paysagères
exceptionnelles du site. Mais les logements y sont vétustes, comme on le voit
sur cette photo montrant une charpente cabossée
.








Ainsi, la
municipalité projette sur ce territoire la construction d’un écoquartier, afin
de reconfigurer la zone. 
« Le projet aura pour objectif premier la mise en valeur de ce lieu
remarquable, 
avance la municipalité. Il s’agit de perpétuer l’esprit de la
cité jardin et d’y développer un écoquartier, mixte et écologique, respectueux
de l’histoire du lieu et de ses qualités paysagères. » 
Mais pour l’heure, le projet n’est pas encore abouti et ne présente que des « orientations », selon la mairie.
La mairie
d’Athis-Mons expose des panneaux explicatifs présentant des orientations pour
le futur quartier de la Cité de l’air. Le constat établit au début est le
suivant :
 « Depuis
son origine, à la fin du XIXe siècle, le concept de la Cité Jardin vise à
faire la synthèse entre la ville et la campagne. » 
Le projet vise donc à s’appuyer sur ces structures existantes, et à les
transformer en
 « écoquartier
contemporain »
 avec « un faible impact
environnemental. » 
Le projet sera réalisé
notamment avec les 
« 2/3 de
la superficie »
 réservés « en espaces verts. »Le bâti proposé sera mixte, logements collectifs ou logements individuels
par exemple. On prévoit également un parking en sous-sol équipé de bornes
électriques. L’agenda provisionnel s’étend sur dix ans de travaux, débutant en
2017.





Le projet
provisionnel a été soumis à une autorité environnementale, la Direction
régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie
d’Ile-de-France (DRIEE). L’organisme a été sollicité pour comprendre comment
l’environnement est pris en compte dans ce projet. Le rapport de cette
institution met en avant un projet qui
 « vise à densifier ce quartier d’habitat principalement sur ses
franges et à développer une offre commerciale nouvelle. »
Toutefois, le
rapport pointe certains
 « manques » dans ce projet. Il est qualifié de « trop général » et maigre de « données
chiffrées
  » quant au nombre de « logements créés » ou « à la
surface de planchers développés »
 ou les« plans précis. » La DRIEE met aussi en avant le fait que les informations quant au
nombre de constru
ctions et destructions de logements sont insuffisantes.





Des locataires inquiets
L’amicale des
résidents de la Cité de l’air (ARCA) exprime également des réserves face à ce
projet et ces zones d’ombre. Selon Etienne Fortin, directeur de
l’association, 
« Nous
sommes favorables à une réhabilitation du quartier, mais pas à la destruction des
logements. »
 Mais quoi qu’il en soit, les
locataires 
« ne
sentent pas l’urgence du projet encore. » 
Il est encore en phase de préparation. Le 13 septembre, la mairie a fait
une présentation du projet, mais celle-ci est qualifiée de 
« générale et succincte » par M. Fortin. « Nous n’avons pas eu de présentation de logements alternatifs » ajoute-t-il.
Les
inquiétudes des riverains concernent donc essentiellement les solutions de
relogement futures. 
« Il n’y
a pas d’obligation de nous reloger au même endroit »
 explique-t-il, « certains locataires sont là depuis quarante ans, nous ne savons pas
si dans un autre quartier nous pourrons retrouver la même qualité de
vie. » 
L’ancienneté des habitants est un
critère à prendre en compte pour l’ARCA et c’est une chose qu’ils veulent faire
peser lors des négociations. Il explique son cas personnel : 
« lorsque je suis arrivé à la Cité
de l’air j’avais deux enfants à charge et donc le droit à un F4, aujourd’hui ce
n’est plus le cas alors je ne sais pas ce à quoi j’aurais le droit. »
Selon la DGAC, au moment où les travaux démarreront, des solutions de
relogement seront proposées aux locataires faisant partie partie du personnel
de l’aéroport d’Orly.
En ce qui
concerne les locataires qui occupent les logements illégalement, des avis
d’expulsion ont été émis pour douze pavillons jusqu’à présent. Mais pour le
reste des habitants, la situation n’est pas encore fixée, (vous pouvez en lire davantage sur le sujet en cliquant
ici).
Du 23 octobre au 23 novembre, l’étude d’impact et l’avis de l’autorité
environnementale portant sur la création de la ZAC à Athis-Mons seront
disponibles à la mairie et sur le site. Les riverains pourront ainsi émettre
des commentaires à ce sujet.
Commentaire: 
Ce projet d’aménagement de la Cité de l’Air avait fait l’objet d’une réunion publique de présentation. Au-delà du caractère houleux de cette réunion, en grande partie liée à des réponses pour le moins maladroites quant au devenir des habitants déjà sur place, ce qui était assez frappant était le manque de clarté quant au projet final. Aujourd’hui, les services de l’État rendent un premier avis par l’intermédiaire de la DRIEE et semblent me confirmer cette impression.


Ile-de-France : Cinq lignes du Noctilien renforcées (France Bleu 16/10)

A partir de ce lundi, les lignes N22, N41, N44, N62, N63 seront renforcées. Le nombre de passage par heure est augmenté.
Jusqu’à 2 fois plus de bus la semaine et 3 fois plus de bus le week-end, la fréquence de 5 lignes de Noctilien N22, N41, N44, N62, N63 est renforcée à partir de ce lundi.

La N22, PARIS (Châtelet) – JUVISY-SUR-ORGE (Juvisy-sur-Orge RER)

La ligne N22 dessert les communes de Paris, Villejuif, Thiais, Chevilly-Larue, Orly / Paray, Athis-Mons et Juvisy-sur-Orge.

La ligne N22 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie le Châtelet à Juvisy-sur-Orge RER. - Aucun(e)La ligne N22 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie le Châtelet à Juvisy-sur-Orge RER. – stif

Renfort de la fréquence de la N22 la nuit, du lundi au dimanche, toute l’année, afin d’assurer 3 passages par heures et par sens.

La N41, PARIS (Gare de l’Est) VILLEPARISIS – MITRY-MORY (Villeparisis – Mitry-le-Neuf RER)

La ligne N41 dessert les communes de Paris, Pantin, Bobigny, Bondy, Les Pavillons-sous-Bois, Livry-Gargan, Sevran, Tremblay-en-France, Villepinte, Vaujours et Mitry-Mory.

 La ligne N41 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Villeparisis Mitry-le-Neuf. - Aucun(e)La ligne N41 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Villeparisis Mitry-le-Neuf. – stif

Renfort de la fréquence de la ligne N41 la nuit :
• du lundi au vendredi, toute l’année, afin d’assurer 2 passages par heures et par sens,
• le samedi et dimanche, toute l’année, afin d’assurer 3 passages par heures et par sens.

La N44, PARIS (Gare de l’Est) – SARCELLES (Gare de Garges – Sarcelles)

La ligne N44 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Garges - Sarcelles - Aucun(e)La ligne N44 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Garges – Sarcelles – Stif

Ligne N62, PARIS (Gare Montparnasse) – LE-PLESSIS-ROBINSON (Robinson RER)

La ligne N62 dessert les communes de Paris, Issy-les-Moulineaux, Vanves, Clamart, Châtillon et Le Plessis Robinson.

La ligne N44 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Garges - Sarcelles - Aucun(e)La ligne N44 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare de l’Est à Garges – Sarcelles – Stif

Renfort de la fréquence de la ligne N62 la nuit :
• du lundi au vendredi, toute l’année, afin d’assurer 2 passages par heure et par sens
• le samedi et dimanche, toute l’année, afin d’assurer 3 passages par heure et par sens

Ligne N63 PARIS (Gare Montparnasse) – MASSY-PALAISEAU (Massy-Palaiseau RER)

La ligne N63 dessert les communes de Paris, Malakoff, Châtillon, Fontenay-aux-Roses, Châtenay-Malabry, Verrière le Buisson et Massy.

La ligne N63 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare Montparnasse à Massy-Palaiseau - Aucun(e)La ligne N63 est une ligne du sous réseau Noctilien qui relie la Gare Montparnasse à Massy-Palaiseau – Stif

Renfort de la fréquence de la ligne N63 la nuit :
• du lundi au vendredi, toute l’année, afin d’assurer 2 passages par heure et par sens.
• le samedi et dimanche, toute l’année, afin d’assurer 3 passages par heure et par sens.

Athis-Mons : statu quo après la rencontre entre les anti-pont et le département (Le Parisien 13/10)

L’association « Athis-Pont Non » a rencontré un responsable du conseil départemental au sujet des nouveaux projets de franchissement de la Seine. Si les deux parties ont exposé leurs points de vue, la situation n’a pas évolué pour le moment.

La guerre gauche droite est toujours d’actualité. Le vieux conflit qui oppose les deux rives de la Seine au sujet de la construction d’un nouveau pont entre Athis-Mons et Vigneux-sur-Seine, compte un nouveau protagoniste depuis que le projet a été fixé entre Athis. Fondée en début d’année, l’association « Athis-Pont Non » – clairement opposée au projet d’un nouveau pont routier comme son nom l’indique – a pu récemment débattre sur ce sujet avec les représentants du conseil départemental.
« L’échange a été cordial », sourit Dominique Gobourg, l’un des fondateurs de cette structure qui revendique aujourd’hui 350 adhérents parmi lesquels Christine Rodier, la maire (LR) d’Athis-Mons. « Elle s’est rangée à nos côtés en septembre », précise Dominique Gobourg. Si les opposants à ce nouveau pont et le département sont repartis dos à dos de cette entrevue, quelques informations ont pu filtrer sur l’état actuel d’un dossier mis en sommeil puis réactivé à de multiples reprises depuis une vingtaine d’années.

« Un pont supplémentaire, c’est une possibilité parmi d’autres »

« Le conseil départemental travaille sur quatre scénarios possibles. Celui retenu bénéficiera d’une étude de faisabilité. On devrait en savoir davantage début 2018 », avance Dominique Gobourg. Pour financer cette fameuse étude, la région Ile-de-France a voté une enveloppe de 8 millions d’euros. Et l’un des scénarios tient toujours la corde : « Le département soutient toujours le projet d’un franchissement routier, déplore le représentant de l’association. Or, acheminer davantage de voitures sur la rive gauche ne ferait que déplacer les bouchons et aurait un impact désastreux sur l’environnement. »
Présent lors de cette entrevue, Nicolas Méary, vice-président du conseil départemental délégué aux mobilités, nuance : « Un pont supplémentaire c’est une possibilité parmi d’autres, assure le maire (UDI) de Brétigny-sur-Orge. Pour faire baisser les temps de parcours entre la rive droite et la rive gauche, qui est un bassin d’emplois, il faut qu’il y ait un nouveau franchissement. Une grande variété de scénarios sont bien à l’étude sur des circulations douces ou réservées aux transports en commun. »

Essonne : de gros retards dans la distribution du courrier (Le Parisien 12/10)

Stéphane Beaudet, le maire (LR) de Courcouronnes monte au créneau contre La Poste. Dans sa commune, de nombreux habitants, dont il fait partie, ont reçu des courriers envoyés il y a trois semaines.

Il est en colère contre La Poste. Ce mardi matin, Stéphane Beaudet, maire (LR) de Courcouronnes a posté un message sur Facebook pour faire part de son « ras-le-bol ». En cause, des courriers qu’il a reçus lundi à son domicile et qui avaient été postés vingt jours auparavant dans des boîtes aux lettres de la ville voisine d’Evry.
« Nous nous réunissons avec les communes voisines pour frapper fort, prévient l’élu. Je suis navré d’en arriver là car La Poste, partenaire de l’AMIF (NDLR : association des maires d’Ile-de-France qu’il préside) depuis un an, est une entreprise dont chacun peut comprendre qu’elle doit se restructurer et se réinventer, ses métiers mutant profondément. Mais pas au détriment du service, non pas offert mais payé par les clients. »
« Une absence de personnel liée au rhume ou à la gastro »
Selon Stéphane Beaudet, « dans certains quartiers, il y a un jour sur deux de distribution ». « Cela peut poser des soucis pour les impôts qui appliquent 10 % de majoration pour les retards de paiement. Pareil pour les amendes. La Poste doit assurer un service. Il y a un problème de ressources humaines, ce n’est pas normal. Une dame me disait que son fils, qui a fêté son anniversaire il y a un mois, n’a toujours pas reçu la carte de ses grands-parents. Tout le monde n’utilise pas Internet… » Quant aux actions qu’il entend mener, l’édile ne souhaite pas en dire davantage pour l’heure.
Le maire de Courcouronnes en colère
Et le problème n’est pas limité à Courcouronnes. Pierre, un trentenaire demeurant à Athis-Mons, a eu récemment la mauvaise surprise de recevoir une contravention relevée par un radar fixe avec la date limite de paiement dépassée de plusieurs jours… « J’ai contesté et, heureusement, je suis tombé sur des gens compréhensifs. Le retard montait l’amende à 375 €… Finalement, j’ai eu un rendez-vous au commissariat et j’ai expliqué la situation. J’ai juste dû payer 90 €. »
Selon différents témoignages des soucis similaires ont aussi été rencontrés par des habitants de Soisy-sur-Seine et Bondoufle. Du côté de La Poste, on explique que ces retards conséquents « sont dus à une problématique ponctuelle liée à une absence de personnel liée au rhume ou à la gastro ». Et de préciser : « 100 % du courrier reçu sur nos sites a été distribué. »

source : http://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-de-gros-retards-dans-la-distribution-du-courrier-11-10-2017-7323885.php

Quand la “droite” célèbre le bolchévisme à Athis-Mons – Michel BOURG


Aujourd’hui, c’est au tour de notre ami Michel BOURG (conseiller municipal autrefois délégué aux anciens combattants et à la citoyenneté) de revenir sur les échanges ayant eu lieu au cours du dernier Conseil Municipal d’Athis-Mons. A l’image de Julienne GEOFFROY, qui se concentrait plutôt sur sa spécialité – les chiffres-, il accompagne cette fois-ci le lecteur dans le monde des idées en évoquant certaines incohérences idéologiques qu’il n’a pas manqué de faire remarquer en séance.

A l’occasion du conseil municipal du
20 septembre dernier, je n’ai pas manqué de m’étonner d’une décision prise par Madame
le Maire (n°173), concernant la mise à disposition d’une salle pour célébrer le
centenaire du 7 novembre 1917. J’ai tout d’abord interpellé Madame le Maire et
son équipe (du moins ce qu’il en reste) quant à cet événement, afin de
m’assurer qu’ils en avaient bien pris la mesure historique. J’ai été navré
d’avoir pour seule réponse une série de quolibets, parfois risibles (il a été
affirmé que je confondais avec la révolution d’octobre 1917, alors qu’il s’agit
justement du même événement…). Il aurait été plus simple pour certains
d’avouer qu’ils ne le savaient pas, bien qu’il s’agisse d’une date importante
de l’histoire mondiale.

Car en effet, il s’agit bel et bien de
la révolution bolchévique menée par Lénine et ayant amené à l’avènement du
communisme en Russie.
En tant qu’enfant de la guerre froide,
je m’étonnerai et m’interrogerai toujours sur de semblables excès de zèle dont
font preuve nombre de responsables locaux ou nationaux de notre propre famille
politique à l’égard de cette idéologie, pourtant censée être aux antipodes de
nos valeurs. J’entends bien qu’au vingt-et-unième siècle il faut enfin que les
esprits éclairés sachent évoquer le sujet de façon dépassionnée, afin de
comprendre ou pardonner, toutefois, imaginerait-t-on un instant, un éventuel
premier magistrat issu de la gauche signer en 2033 une convention pour
commémorer dans la langue de Goethe le centenaire du 30 janvier 1933 ? 
Ancien élu aux anciens combattants et
au devoir de Mémoire, je suis particulièrement attaché à ne jamais oublier les
victimes de tous les totalitarismes.  De
plus, je n’oublie que nous traversons actuellement un autre centenaire – celui
de la première guerre mondiale – pour laquelle les conséquences de cette
révolution coûtèrent cher à nos poilus au front. L’armistice de Brest-Litovsk
libéra les troupes allemandes du front de l’Est, qui repartirent immédiatement
à l’offensive sur le sol de France dans quelques-uns des assauts les plus
meurtriers de l’histoire !
Comme l’a rappelé ensuite mon collègue
Julien DUMAINE, il y a peut-être de la part de Madame le Maire une certaine
inconstance dans le domaine : on se souvient, pourtant, qu’il n’y a pas si
longtemps elle s’était opposée au dépôt d’une gerbe au cours d’une
manifestation patriotique sous le motif qu’elle était déposée par le Parti
Communiste Français.
C’est un choix politique. Mais comment
expliquer alors qu’il fut décidé d’interdire de commémorer les faits de
résistance par les communistes en France et dans le même temps
“célébrer” – car c’est le terme – l’action des bolchéviques à
l’étranger à travers ce centenaire de la révolution d’octobre 1917 ?
A cette allure, il sera bientôt
interdit un futur meeting de Jean-Luc Mélenchon sur la ville pour mieux
recevoir le lendemain Kim-Jong-Un et sa délégation officielle.

Ainsi, à l’image de beaucoup d’autres
sujets, cela n’est pas seulement regrettable, mais aussi étrangement
incohérent.


Michel BOURG, Conseiller Municipal