Conseil Municipal du 20 septembre 2017: ce qu’il faut retenir


Le 20
septembre dernier s’est tenu le tant attendu Conseil Municipal trimestriel
imposé par la loi. Ma collègue Julienne GEOFFROY, ancienne adjointe au Maire en
charge des finances (démissionnaire) est intervenue à de multiples reprises et
de façon pertinente sur les questions budgétaires, parvenant à mettre le Maire
en sérieuse difficulté. Elle nous offre donc ce petit compte-rendu de
l’événement dans une analyse en deux temps (revenant sur l’absence de
démocratie puis sur les multiples incertitudes en matière de finances), le tout
dans le style concis et efficace qui la caractérise.


DEFAUT
DE DEMOCRATIE

Triste constat : toujours un rythme d’un seul Conseil Municipal
par trimestre soit le minimum imposé par la loi (
article L. 2121-7  du code général des collectivités territoriales). Trois conseils
municipaux se sont tenus depuis mars, (mars, juin et septembre) alors que le
rythme habituel était d’un conseil par mois auparavant.

La liberté d’expression s’en retrouve donc sérieusement diminuée.
Le Maire nous accuse même de ralentir le déroulement de la séance (vous ne
rêvez pas). La séance de juin s’est certes terminée à 2h30 du matin (!) mais un
nombre anormalement important de points étaient inscrits à l’ordre du jour.
 De plus, la périodicité
des conseils et la volonté du Maire de passer le maximum de points sous la
forme de décisions propres plutôt qu’en délibérations du Conseil Municipal nous
amènent à saisir ces rares occasions de poser des questions.

Cela ne fait que traduire une volonté du maire de dissimuler les
décisions prises. Pour exemple une décision prise en mai/juin n’est communiquée
qu’en septembre. Bien souvent, absence de réponse à nos questions qui révèlent
la non-maîtrise par le Maire de ses propres dossiers. Lorsqu’elle ne botte pas
en touche en invoquant qu’on nous “répondra par écrit ultérieurement”
(ce qui, sauf exception, n’est pas fait), le Maire livre des réponses
brouillonnes, mélangeant plusieurs sujets sans relation avec la question posée,
ce qui m’a notamment obligée à répéter plusieurs fois les mêmes interrogations.
L’échange est impossible, et la situation n’est pas sans rappeler le débat de
l’entre-deux tours de la présidentielle avec la piètre performance offerte par
Marine Le Pen, qui s’enlisait dans ses réponses et perdit beaucoup en
crédibilité.

La comparaison tient. Ainsi, de la même manière que lors de ce
débat télévisuel, l’absence d’arguments du Maire l’a bien vite poussée à effectuer
des attaques personnelles envers des membres de notre groupe. Elle n’a d’ailleurs
pas hésité à me mettre en cause en déclarant que je n’avais jamais travaillé
sur les questions budgétaires lorsque j’étais Adjointe au Maire en charge des
finances. Au-delà du ridicule de cette affirmation (quelque part, elle se
discrédite elle-même en reconnaissant qu’elle se satisfaisait autrefois d’avoir
une adjointe aux finances qui ne faisait rien…), je tiens à préciser
certaines choses. J’ai veillé à la bonne exécution du budget 2014 qui fut voté
par nos prédécesseurs, puis ai élaboré les budgets 2015 et 2016. Il est vrai
que j’ai rencontré quelques difficultés pour le budget 2017 car on me mettait
des bâtons dans les roues et je n’étais pas suivie dans mes orientations.
Effectivement, j’imagine qu’alors “on
avait du mal à [me] mettre la main dessus pour la préparation budgétaire

, puisque j’en ai tiré les conséquences et ai démissionné de ma fonction. Beaucoup
n’ont pas ce courage et restent bien sagement à toucher leurs indemnités…

En bref, tous ces éléments conduisent malheureusement à des
atteintes à la démocratie dans son essence même : pouvoir exprimer ses idées librement.


FINANCES : DE NOMBREUSES INCERTITUDES


Exécution du budget principal de la ville d’Athis-Mons

Le Maire a souscrit en juin un emprunt de
3,2 millions d’euros auprès de la Banque Postale, consommant donc la totalité
des crédits inscrits au budget 2017.

À la suite de notre demande afin de savoir quels investissements
(travaux, acquisitions…) sont financés par cet emprunt, nous avons eu le
droit au très vague “ce qui est
inscrit au budget”,
puis lorsque nous demandions le détail plus précis
au vu de l’absence d’activité sur la ville vint une réponse lapidaire du maire
: “Tous les travaux sont
commencés”

Force est de constater que :

-Les travaux de rénovation du gymnase Hébert n’ont toujours pas
commencé.
-Les travaux pour la création de l’épicerie sociale n’ont pas
non plus commencé (malgré la fermeture des Restos du Coeur…).
-Les travaux du Centre de Loisirs Jean Jaurès n’ont pas encore
débuté.

Or, plusieurs de ces projets, déjà en retard et décalés
d’exercice en exercice, sont financés de manière importante par le Département.
Si ces travaux ne sont pas réalisés avant 2018, la subvention départementale
  sera perdue, conduisant ces projets à être repoussés de
plusieurs années encore.

Un cabinet de consultants en finances
pris par la ville dont on ne connaît pas la ou les missions:
Une prestation “ayant
pour objet de définir les conditions d’accès à une ou plusieurs plateformes
proposées ainsi que les prestations de supports et d’expertises associées pour
une durée de 2 ans”
ça vous parle ? Moi non plus.

Il a été impossible d’obtenir une réponse claire afin de
déterminer si ce contrat évalué à plus de 15 840 € était un coût à l’année
pendant 2 ans ou 15 840 € pour les 2 années.
 

Si le contrat est prévu sur la première option, cette décision
est entachée d’irrégularité car supérieure au montant de 25 000 € HT. Une
consultation aurait dû avoir lieu. Nous attendons donc des précisions de la
municipalité à ce sujet qu’ils n’ont pas été en mesure de nous communiquer en
séance. Le contrat serait le bienvenu afin de pouvoir le déterminer.

Une sous-traitance annoncée du service
informatique nouvellement créé en 2016 entraînant des surcoûts certains au
budget 2017:
Encore une fois, un contrat a été signé concernant “la présentation d’une solution
d’accompagnement à la gestion et au support informatique”
pour 9 000 €
par mois, tel que cela nous était présenté dans le document soumis au Conseil
Municipal. Après questionnement, il nous a été révélé que ce contrat était de
trois mois.  pendant 3 mois ou 9 000 €
pour 3 mois.

Si tel était le cas, comme pour le point précédent cette
décision est entachée d’irrégularité car au-dessus de 25 000 € HT, cette
prestation doit faire l’objet d’un marché public.

Suite à cette intervention de ma part et à quelques mouvements
de panique et réponses incohérentes de sa part, le Maire m’a affirmé qu’il
s’agissait en fait d’un montant de 9000€ pour les trois mois et que le document
présenté en Conseil Municipal était donc faux…

De plus, il nous a été précisé qu’une consultation est prévue à
l’issue de ces 3 mois. Ce candidat pourrait donc être privilégié par rapport
aux autres candidats, ce qui serait assez fâcheux.

En admettant que les réponses aient été exactes et de bonne foi,
on ne peut que remarquer l’étrange façon de procéder de Mme le Maire : au lieu
de monter un marché dès le départ et de d’analyser les offres déposées par les
entreprises, on choisit d’abord une société et on lance ensuite une consultation
lorsque l’on est forcé de le faire parce que le montant devient trop important
et que l’on se heurte au seuil légal des marchés publics…

Pour conclure, et puisqu’on nous accuse sans cesse (à tort) de
critiquer l’administration communale, je tiens à saluer son engagement lors du
Conseil Municipal. Si elle n’était pas présente pour souffler en permanence des
réponses au Maire, les réponses de celle-ci en matière de finances publiques passeraient
assez rapidement de médiocres à catastrophiques.



Julienne GEOFFROY
Conseillère Municipale
Ancienne Adjointe au Maire chargée des Finances


Un pont trop loin (l’Athégien juillet/août 2017)

Retrouvez ici la tribune de notre groupe tel que paru sur le bulletin municipal de Juillet/Août



Un
pont trop loin

Le pont routier
Athis-Vigneux. Un projet bien connu des Athégiens et combattu en son temps
refait surface via le plan anti-bouchons porté par le Conseil Régional et sur
lequel le Conseil Départemental a rendu son avis. Certains essaient de le
transformer en tunnel mais au-delà d’un coût exorbitant, les premières études
ont conclu à un “risque de dysfonctionnement important […] [et un]
raccordement impossible sur le giratoire de la RD118” liées aux
contraintes de pente (circulation des bus compromise). A l’opposition unanime
d’hier, s’est substituée des sentiments plus partagés : votre Maire n’hésite
pas à clamer haut et fort son opposition au projet, mais votre Conseillère Départementale
vote le financement des 8 millions d’euros d’études consacrés à la réalisation
de ce pont. Le seul problème, c’est qu’il s’agit là d’une seule et même
personne…

Julien
DUMAINE – Laure LAFOND – Sydney FLEURY – Maryline GRESSY – François ETIENNE –
Michel BOURG – Julienne GEOFFROY

email : athis.espoir.liberte@gmail.com

site web :
http://www.julien-dumaine.com

Que se passe-t-il avec les rythmes scolaires à Athis-Mons ?



Tout a commencé un beau matin de
2014. Nous étions alors en période électorale pour les municipales.  Le ministre de l’éducation allait à cette époque appliquer sa réforme des rythmes scolaires afin d’abandonner la semaine de
quatre jours. Cette nouvelle réforme était alors loin de faire l’unanimité, pas
plus qu’elle ne suscitait l’enthousiasme de la plupart des collectivités qui avaient à porter ce changement – y compris
financièrement. Comme beaucoup de candidats de droite, nous décidâmes donc d’en
faire un thème de campagne en nous positionnant contre cette réforme.

Une fois élus, nous n’avons
cependant pas opposé grande résistance à son application, ce qui aurait été de
toute façon inutile au vu du peu de succès obtenus par d’autres maires, parfois
réduits à cadenasser le portail des écoles à la rentrée scolaire en signe de
protestation. La réforme étant inévitable, inutile de lutter en vain.


Puis vint l’élection du Président
Macron, et avec lui les annonces de son ministre de l’éducation. Très
rapidement, il annonçait une nouvelle réforme des rythmes scolaires, dont le
principe directeur était de laisser la liberté aux communes. Cette position
paraît tout à fait équilibrée dans la mesure où il faut reconnaître que la précédente réforme a rencontré de francs succès au sein de certaines collectivités,
notamment celles ayant les moyens financiers d’offrir des activités
périscolaires à forte valeur ajoutée (équitation, plongée…). En mai, M. le
Ministre a précisé que la réforme était envisagée pour 2018 mais qu’un certain
nombre de communes “pilotes” pourraient revenir aux 4 jours dès la
rentrée scolaire 2017… Encore fallait-il qu’elles se manifestent rapidement.

Mais ce n’est qu’à partir du 13
juin que les choses deviennent plus difficile à suivre en mairie. Coup de fil du
Parisien. Ils écrivent un article sur la position de la ville sur les rythmes
scolaires. Tout le monde semble alors se réveiller et agir dans la plus grande
panique. Il faut dire qu’il s’agissait d’une occasion en or d’honorer – pour une fois –
l’une de nos promesses électorales, alors au diable la concertation !

Texte du Parisien, 14/06/2017



La méthode est un peu brutale,
d’autant plus que la consultation est normalement une obligation, mais passons. Les annonces
officielles sont effectuées dans les conseils d’école, où la décision est annoncée comme prise
par le Maire et non-négociable. Nombreuses crispations liées à la précipitation et à la nécessaire réorganisation des modes de garde qui en découlent, mais les parents favorables au retour à la semaine de quatre
jours paraissaient encore relativement contentés.  


C’est du moins ce qu’ils
croyaient.  Le 21 juin, au matin d’un
Conseil Municipal qui se réunissait enfin à un jour d’échéance de l’illégalité
(Mme le Maire étant tenue par la loi de convoquer au moins un Conseil Municipal
par trimestre) et qui avait également vu une mobilisation de parents d’élèves pour d’autres raisons fut l’occasion d’un véritable “coup de théâtre”
comme dirait le Parisien. Mme le Maire a en effet réalisé dans la journée un véritable
volte-face en contradiction complète avec toutes ses déclarations précédentes
en annonçant le report de la réforme à 2018 et sa volonté d’organiser une
concertation. Au temps pour les parents qui durent – encore une fois – changer
leurs modes de garde.

Le principal argument avancé
était la non-parution du décret. Aussi, lorsque celui-ci (dont le projet était
déjà largement consultable depuis le 8 juin, date où il a été présenté aux
syndicats enseignants) parut effectivement à peine une semaine plus tard, Mme le Maire se sentit obligée de se justifier par le biais de ce communiqué critiquant le décret, rédigé dans un français administratif parfaitement
inintelligible. Des nombreux retours que nous avons reçus de la part de la population,
bien peu furent en mesure d’en saisir le sens profond tant les phrases y sont longues,
les formules ampoulées et le style obscur.

Soyez sans crainte, je l’ai
déchiffré pour vous et la véritable information ne concerne en réalité qu’une seule
phrase : Dans ce contexte de fin d’année scolaire, entre
besoin de clarté, de sérénité dans le consensus et de temps pour le constater [?],
j’ai décidé le report de la semaine de 4 jours, qui sera mis[e] en œuvre sur la
commune après concertation “.
 

Conclusion: il sera organisé une “concertation” d’un genre particulier car portant sur une décision qui apparaît comme déjà prise: la remise en place en 2018 de
la semaine de 4 jours.

————————————————————————————————————————–

Dans un esprit constructif, voici
maintenant ce qu’il aurait sans doute été préférable de faire afin de répondre
au  “besoin de clarté, de sérénité dans le consensus et de temps” formulé
par la population:

1 – Report de toute décision à la
rentrée 2018-2019 afin d’éviter une précipitation excessive dans la mise en œuvre.

2 – Procéder à une évaluation de
la réforme des rythmes scolaires (passage à quatre jours et demi), y compris
sur le plan financier. Un sentiment général est utile, mais un retour
d’expérience concret sur la mise en œuvre au niveau communal paraît
indispensable pour éclairer la décision.

3 – Organiser une véritable
concertation avec les acteurs du monde éducatif et les parents d’élèves

4 – Au vu de l’ampleur du sujet,
et pour éviter d’éventuelles critiques sur la représentativité des personnalités
consultées – ce qui commence déjà inévitablement à circuler – organiser un
referendum local afin de laisser les Athégiens décider. La municipalité
diffuserait une lettre offrant des tribunes de taille équivalente aux partisans
de chacune des propositions afin que les citoyens puissent se forger leur propre
opinion de manière éclairée. Un débat public pourrait également être organisé.

5 – Application de la décision
choisie par les Athégiens qui se seront prononcés en connaissance de cause dans
le cadre du referendum.

A Athis-Mons, davantage de
démocratie ne ferait pas de mal.

Retour sur l’organisation des bureaux de vote lors de l’élection présidentielle.

Madame Christine RODIER
Maire
Place du Général de Gaulle
Hôtel de Ville
91200 ATHIS-MONS
REF : 2017 / JD/MG N°03
Athis-Mons,
le 28 mai 2017 
Objet: Retour sur l’organisation des dernières opérations
électorales
Madame le Maire,

Dans le cadre de la composition des bureaux de vote pour les
opérations électorales du 23 avril et du 7 mai derniers, certains membres de
notre groupe étaient appelés à tenir des bureaux de vote. Au-delà de
différentes sollicitations individuelles, 
vous aviez été sollicitée par nos soins via un courrier en date du 10
avril à ce sujet. Malheureusement, les informations sont parvenues très
tardivement aux élus concernés et le récépissé officiel n’a été délivré que la
veille du scrutin à 11h00, accompagné d’une invitation à une réunion de
préparation qui s’était tenue le même jour à 9h00 et à laquelle il était par
conséquent impossible d’assister.

Durant les quinze jours qui séparèrent les deux tours, pas
davantage d’information excepté l’envoi trois jours avant le scrutin d’un
récépissé via pièce jointe d’un email au corps vide, sans même la moindre
salutation ou formule de politesse. Certains eurent un dépôt de ce même
récépissé directement dans leur boite aux lettres, sans enveloppe.

En amont du premier tour, nous avions reçu une affectation
pour les deux tours avec un coupon-réponse. L’organisation de ce second tour
nécessita des changements d’affectation, voire même une mobilisation d’élus non
prévus précédemment et prévenus moins de 72h à l’avance. En ce qui me concerne,
j’ai par exemple été déplacé au bureau n°13, en contradiction avec
l’attestation envoyée par vos services concernant la tenue du bureau de vote
n°12 que je leur avais renvoyée signée (reproduite en pièce jointe).

Certains de nos élus purent obtenir un embryon de réponse :
les élus socialistes s’étant spontanément proposés afin de tenir les bureaux de
vote pour ce second tour, il fallut leur faire place.  S’il vous appartient parfaitement selon vos orientations
personnelles d’accorder une forme de préséance à vos adversaires d’hier,
membres du parti socialiste, il aurait été appréciable de nous en aviser plus
tôt. Chacun ne manquera pas de tirer librement les conclusions de vos
préférences.

Pour autant, nous vous rappelons qu’en dépit des différends
d’ordre politique qui peuvent nous opposer, le Maire est responsable de la
bonne organisation des scrutins électoraux se tenant sur sa commune. Ainsi, vous
ne manquerez pas de remarquer que nous avons fait preuve de bonne volonté en
dépit de ces petits incidents afin d’assurer le bon déroulement des opérations
de vote. A l’avenir, il serait donc souhaitable que cela ne se reproduise pas,
d’autant plus que la fonction de président de bureau de vote se caractérise,
par définition, par sa neutralité.

A ce titre, nous saluons votre récente initiative du week-end
dernier visant à informer certains élus de notre groupe de leur affectation en
amont des élections législatives des 11 et 18 juin prochain.

Veuillez agréer, Madame le Maire, l’expression de notre plus
haute considération.
Pour les élus du
groupe Athis-Mons: Espoir & Liberté,
Julien DUMAINE

Président,






Note: Malheureusement, plusieurs de nos élus n’ont finalement été prévenus de leur affectation    à un bureau de vote qu’au tout dernier moment :  la veille du scrutin…


Résultats des élections législatives, second tour.

Résultats du second tour des élections législatives à Athis-Mons
:

Participation : 34.91%
Nuls: 3.11%
Blancs : 8,46%

Muriel KERNREUTER (LREM) : 50.53%
Robin REDA (LR) : 49.46%
Et sur l’ensemble de la
circonscription (Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge, Paray-Vieille-Poste,
Savigny-sur-Orge, Viry-Châtillon):

Participation : 39.20%
Nuls: 2.71%
Blancs : 7.64%

Robin REDA (LR) : 53.04%
Muriel KERNREUTER (LREM) : 46.96%

Résultats des élections législatives: premier tour.


Résultats
du 1er tour des élections législatives à Athis-Mons :

Participation : 43.05%
Nuls:
0.29%
Blancs : 1,24%

KERNREUTER
(REM) : 31.33 %
REDA (LR): 18.58%
BENAILI (FI): 17.35%
SAS (ECO) 13.85%
GUIBERT (FN) : 12.49%
MARCELLIN (DLF): 2.25%
BOMPARD (ECO): 1.13%
CAUSSE-VILLE
(UPR): 0.91%
LECLERC
(EXG) 0.78%
VAGNEUX
(DVD): 0.48%
BEYRAND
(EXG): 0.44%
SARR
(DIV): 0.34%
Et sur l’ensemble de la circonscription (Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge,
Paray-Vieille-Poste, Savigny-sur-Orge, Viry-Châtillon):

Participation
: 46.58%
Nuls: 0.39%
Blancs : 1,09%

KERNREUTER (REM) : 30.99%
REDA (LR): 23.65%
SAS (ECO) 13.74%
BENAILI (FI): 13.57%
GUIBERT (FN) : 12.01%
MARCELLIN
(DLF): 2%
VAGNEUX
(DVD): 1.14%
BOMPARD (ECO):
1.10%
CAUSSE-VILLE
(UPR): 0.75%
LECLERC
(EXG) 0.54%
BEYRAND
(EXG): 0.29% 
SARR
(DIV): 0.22%